Le complexe d'incarnation

27 mai 2005 - 24 juin 2005
Galerie Nei Liicht, DUDELANGE (Lux )
sur l'invitation de Danielle IGNITI

lire les articles de presse :
La gravité de Laëtitia B., Lucien Kayser, D'Land Kultur n°23, 10 juni 2005
Laetitia Bourget à la galerie Nei Liicht, 24 heures de la vie d'une femme, Anne Schmitt
Tageblatt, juin 2005


Pourquoi sommes nous nés si nous devons mourir, bâche rivetée 80 x 120 cm extraite de la serie à vif (2002) et vitrine de multiples

« A l’occasion de cette exposition, j’ai souhaité réunir un ensemble d’œuvres réalisées entre 1997 et 2005, et donner ainsi un aperçu assez large de la nature de mon travail plastique, tant sur le plan des formes que des problématiques abordées. La proximité avec le petit musée archéologique au rez-de-chaussée de la galerie Nei Liicht, m’a guidé vers une certaine approche de mes activités qui a orienté le choix des œuvres.
Mon travail m’est ainsi apparu comme un processus permettant l’élaboration d’une position vis-à-vis de l’humain, de l’existence, du monde auquel nous appartenons… qui donnerait à l’observateur le recul nécessaire à la perception de ce qui n’est pas visible, lorsque l’on est immergé dans son quotidien. Il s’agirait pour moi de gratter au-delà de la surface, pour contribuer à l’émergence de phénomènes, et nous permettre d’accéder à un autre niveau de perception et de compréhension, de ce que nous sommes, et où nous vivons. C’est une démarche qui relie le fragment au tout. En isolant des détails puis en les associant, elle permet une perception de l’ensemble. Et ainsi la pratique de l’art apparaît dans sa proximité avec celle de tout chercheur, développée avec son langage propre et à la fois transversal. » LB extrait du dossier de presse


vitrine présentant quelques objets trouvés issus des Lebenstücke (1998-2005) dans le petit musée d'archéologie au rez-de-chaussée de la galerie


L’éloge de l’errance, 5 visionneuses, séquences de vues stéréoscopiques (2003) et en arrière plan
Le devenir-vieillard, 10 diapositives stéréoscopiques rétroéclairées (2002)

Les feuilles mortes, installation de 160 post-it imprimés, 1999-2001

20/100 sculptures excréments, 10 x 8,5 x 4 cm, 1997-2001

et aussi :
Cultures-paysages, projection vidéo et dispositif sonore, 36', 2003
Biotope, vidéo dans un moniteur avec casque, 17', 2001
Le jour s’est levé, vidéo dans un moniteur avec casque, 12', 2003
L’essentiel et Descriptions, pièces sonores en écoute au casque, 45’ et 60', 2002